BIENVENUE !
-> Mes poèmes sont classés par date de création, les plus récents sont à la fin.
-> Mes poèmes sont
-> La plupart sont assez noir, esprits sensibles s'abstenir. xD
-> Ne vous inquiétez pas, je ne suis pas une maniaco-dépressif, contrairement à ce que l'on pourrait potentiellement croire. xD
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Viens avec moi.Petite fillette perdue dans tes songes,
Tu n’ouvres pas les yeux sur ce qui te ronge,
Dans tous tes rêves tu es blottie,
Car tu as peur d’être meurtrie.
Tu gardes le silence, toujours la bouche fermée,
Tu n’ouvres pas les yeux sur cette réalité.
Toi, tu préfères ton monde, tu y es attachée,
Parce que tu peux prétendre ne pas être enchaînée.
Petite fillette, si tu restes toujours seule,
C’est que tu as peur qu’on te redise ‘Ta gueule’.
Alors tu te renfermes et tu pleures encore,
Et ça te donne l’impression d’avoir toujours tord.
Mais toi tu continues ; tu ne peux pas t’arrêter,
Car tu gardes en toi trop de souvenirs bafoués.
Moi je vais t’aider, petite fillette,
Tu vas cesser d’être une marionnette,
Tu ignores qui je suis, mais ce n’est pas mon cas,
Mon nom est « La Mort », viens donc avec moi …
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P.E.R.D.U.E.Je peux regarder autour de moi,
Mais seul le noir me répondra,
Celui qui envahit mes jours,
En échange d'un peu d'amour.
Je risque d'étouffer,
De me retrouver angloutie,
Dans ce noir paralysé,
Là où j'y laisserais ma vie.
Je veux me regarder,
Mais je ne me retrouve pas,
J'essaie de résister,
Mais je sombre pas à pas.
Dans cette obscurité infernale,
Est une douleur qui fait si mal,
Elle me blesse, mais c'est banal;
Ce n'est qu'une lame, ça m'est égal.
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Meurtre au crépuscule.Debout dans une nuit profonde,
Il se laisse envahir par l'oubli,
Meurtri par les accords qui se fondent,
Il sombre au déséspoir infini.
Debout il est resté,
Malgrès le vent et la tempête,
Lui qui a résisté,
Malgrès la douleur qui le guette.
Un meurtre au crépuscule
Impossible à éviter,
Une entaille minuscule
Dans son coeur s'est créée.
Contre l'oubli il a lutté,
Contre lui-même il à gagné,
Contre la peur s'est acharné,
Un mot, un son; il a gagné...
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Accident Mes yeux ne me servent qu’à t’observer,
Mes oreilles à t’écouter,
Ma bouche à t’embrasser
Et mon cœur à t’aimer.
Pourtant je t’avais dit de rester,
Mais toi, têtu, tu ne m’as pas écoutée,
Tu m’as embrassée et tu es sortit,
Mon cauchemar était loin d’être finit…
La voiture s’est avancée,
A vive allure, elle t’a frôlé,
Choqué, tu n’as plus bougé,
Et la suivante t’a percutée.
En larmes, j’observais,
Impuissante et je pleurais.
L’ambulance est arrivée,
Doucement, tu t’es effacé.
A présent, mes yeux pleurent,
A chaque mot mes oreilles se leurrent,
Et ma bouche a seulement peur,
De trahir un cœur qui se meure.
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Inconscience HumaineLe bruit qui court,
On ne l’entend plus,
Cette chaleur de toujours,
On ne la sent plus,
Les ténèbres nous entourent,
Mais on ne voit plus rien,
Aveuglés sans détour,
Sans avenir, sans lendemain.
Si on ouvrait les yeux,
Le monde nous apparaîtrait,
Calme et merveilleux,
Comme il ne le sera jamais.
Mais pour apercevoir ces détails,
Notre vie doit être en péril,
Comme un train lorsqu’il déraille,
Et ne tenir plus qu’à un fil.
Un voyage périlleux sur ce long chemin,
Nous ouvre les portes d’un monde infini,
La plus grande inconscience de l’être humain,
Et certainement celle de sa propre vie …
D’après une phrase du livre ‘Et si c’était vrai’, de Marc Lévy. ---------- ---------- ----------
InspirationDes mots qui alors sont cachés,
S'entrecroise pour l'éternité,
Là, dans mon esprit, ils dansent joyeusement,
Comme une prophétie qui s'accomplit lentement.
Les yeux encore fermés, j'entends en dormant,
Ces murmures constants, doux mais incessants,
Ils m'apaisent, me dévisagent,
Voila le sens de ces images.
J'ouvre les yeux, juste un instant,
Les mots s'échappent, curieux, troublants,
Et c'est là, qu'enfin on me répond :
"C'est les yeux fermés que vient l'inspiration."
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AvenirUne lueur dans le ciel, étrangement comparable,
A un signe du destin, un signe charitable,
Une lueur dans la vie, étrangement ressemblante,
A un petit paradis de cette même terre blessante.
Les bras ouverts, nous voulons accueillir,
Ce futur si proche, les jours de notre avenir,
En cette forme si simple, il s'offre alors à nous,
A nos risques et périls, ceux de devenir fou ...